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Lors de la mise à l’herbe au printemps, nous souhaitons tous voir nos chevaux pâturer le plus longtemps possible et espérons que l’herbe sera présente en quantité suffisante jusqu’à l’automne.
L’alimentation est l’activité principale du cheval qui, à l’état sauvage, passe en moyenne 15 heures par jour à s’alimenter. La mise au pâturage d’un cheval est donc la solution idéale pour lui permettre de reproduire au mieux ce comportement naturel. Seulement, si le pâturage de jour est le plus fréquent, il n’est pas forcément adapté à toutes les situations.<
La sédentarisation de nos chevaux, associée au fait que ces derniers vivent généralement plus vieux grâce à l’amélioration des techniques et soins prodigués ces dernières années, font que l’on voit de plus en plus de chevaux atteint de problèmes métaboliques et/ou endocriniens. Il est alors nécessaire d’adapter le mode de vie et l’alimentation du cheval atteint, afin d’assurer son bien-être. Mais alors, quelle alimentation choisir pour un cheval atteint de ces maladies ?
Le bouchon œsophagien est LA maladie du cheval « glouton ». Il est principalement provoqué par une accumulation d’aliments qui vient obstruer l’œsophage du cheval. Si le bouchon œsophagien est relativement fréquent, il n’en reste pas moins une urgence. En effet, pris à temps, il peut être « soigné » par le propriétaire mais peut très vite amener à des complications et nécessiter une visite chez le vétérinaire.
Des températures extérieures élevées, peu d’air dans les bâtiments, une atmosphère trop humide… Ces situations sont fréquentes durant la belle saison et sont les facteurs principaux du « coup de chaleur » chez le cheval. Il s’agit d’une urgence clinique, il est donc important de savoir repérer les premiers symptômes et les moyens de prévention de ce syndrome
Des températures extérieures élevées, peu d’air dans les bâtiments, une atmosphère trop humide… Ces situations sont fréquentes durant la belle saison et sont les facteurs principaux du « coup de chaleur » chez le cheval. Il s’agit d’une urgence clinique, il est donc important de savoir repérer les premiers symptômes et les moyens de prévention de ce syndrome.
Les fourrages enrubannés ont fait leur apparition en France il y a quelques années. Ce type de fourrage présente plusieurs avantages et est, par conséquent, de plus en plus utilisé en élevage équin. Nous vous proposons donc dans cet article de faire le point sur les différences entre le foin et l’enrubanné et leurs effets respectifs sur la digestion et l’exercice chez le cheval.
Gérer les pâtures et les stocks fourragers peut devenir un vrai casse-tête et on fini souvent à devoir donner du foin plus tôt ou à racheter du foin… L’herbomètre est un outil de mesure de la hauteur d’herbe et par conséquent une aide à la décision pour la gestion du pâturage. Cet article vous explique comment l’utiliser
Comme tous les mammifères, le poulain naît avec un microbiote quasiment stérile. Cependant, le bon développement de celui-ci dans les premières heures de vie est crucial pour sa croissance et l’ensemble de sa vie future. Nous vous proposons donc de faire le point sur le développement du microbiote chez le poulain et le rôle de l’alimentation sur celui-ci.<
Dermite, dermatite, gale d’été, gratte… Tous ces noms désignent une seule et même maladie : La Dermite Estivale Récidivante des Équidés (ou DERE). Liée à la présence de moucherons et insectes piqueurs, cette maladie saisonnière apparaît au printemps, s’intensifie en été et disparaît progressivement en automne. On fait le point sur les solutions de prévention à mettre en place pour lutter contre cette maladie difficile à soigner une fois installée.